Showroom vente de solution Drone DJI & DJI Enterprise
TELEPILOTE SAS
Centre de certification et de Formation Drone
Admission : 0983409704
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La règlementation identifie 4 scénarios opérationnels pour lesquels les conditions d’autorisation ont été définies dans le détail.
Tout vol en dehors de ces 4 scénarios ou en déviation à ces conditions ne peut être envisagé que dans le cadre d’une autorisation spécifique, après étude au cas par cas d’un dossier justifiant le maintien d’un niveau de sécurité acceptable.
L’exploitant d’un aéronef utilisé pour des activités particulières doit déclarer son activité à la DGAC, et renouveler sa déclaration à chaque modification de son activité et de manière systématique tous les 24 mois.
Il doit documenter son activité et la façon dont il satisfait à ses obligations règlementaires dans un manuel d’activités particulières (MAP) qu’il tient à la disposition des autorités en cas de contrôle.
Les télépilotes doivent détenir un certificat d’aptitude théorique de pilote d’aéronef habité et l’exploitant doit s’assurer de leur compétence pratique. Pour les opérations les plus complexes (hors vue à grande distance), les télépilotes doivent détenir une licence et une expérience minimale de pilote d’aéronef habité.
La règlementation fixe des dispositions relatives aux aéronefs télépilotés et aux conditions de leur utilisation qui visent à assurer la protection des tiers au sol et des autres usagers de l’espace aérien.
Afin d’assurer la protection des tiers au sol :
Afin d’assurer la protection des autres aéronefs :
Pour une synthèse des exigences applicables à l’exploitant, à ses aéronefs et ses télépilotes, consultez l’annexe 6 "Synthèse des exigences applicables à l’exploitant, à ses aéronefs et ses télépilotes" du Guide Aéronefs circulant sans personne à bord : Activités particulières.
Pour une synthèse des démarches et des formulaires associés, consultez l’annexe 7 "Synthèse des démarches" du Guide Aéronefs circulant sans personne à bord : Activités particulières.
Sources : http://www.developpement-durable.gouv.fr/Quelle-place-pour-les-drones-dans,45924.html
Etre apte au télépilotage de drone
Ce que dit la DGAC
Côté formation, la réglementation précise que tous les télépilotes ont l’obligation de suivre une formation théorique et d’obtenir une déclaration de niveau de compétence (DNC). Cette dernière est délivrée sous la responsabilité de l’opérateur qui atteste de leurs compétences pratiques.
Télépiloter un drone ne s’improvise pas. La DGAC exige certaines aptitudes pour prendre les commandes de ces engins volants. Quelles sont exactement les compétences requises ?
Pas question de mettre le maniement de drones civils dans n’importe quelles mains.Des compétences techniques sont indispensables pour faire voler ces aéronefs, mais aussi pour éviter tout risque de chute ou de collision. (source : ministère du développement durable).
Chaque scénario suppose des aptitudes particulières.
La réglementation de décembre 2015, qui encadre l’utilisation des drones civils, définit quatre scénarios de vol. Les scenarii S1 et S3 concernent les vols en vue, limités à 200m d’éloignement du télépilote pour le S2, hors zone peuplée (S1) ou en agglomération limité à 100 mètres (S3). Le S2 s’applique aux vols hors zone peuplée et hors vue, limités à 1000 m d’éloignement du télépilote. Plus complexe, le S4 encadre les vols hors zone peuplée, hors vue et sans limites de distance.
Télépilote :
- Il doit disposer d’un certificat d’aptitude théorique d’une licence de pilote d’aéronef habité (PPL, planeur, FCL, ULM, etc.). Si un postulant télépilote ne possède aucun titre aéronautique, la solution la plus simple est d’obtenir le certificat théorique du brevet de pilote d’ULM (cf. calendrier des examens organisés par les DSAC IR).
- La formation pratique peut être réalisée en auto-entraînement (en respectant les conditions de vol en aéromodèlisme), et/ou dans un organisme de formation ayant déposé un MAP couvrant cette activité de formation (cf. liste des exploitants de drones), et/ou par l’exploitant si ses activités particulières et la formation à celles-ci font déjà l’objet d’un dépôt de MAP..
Un socle de compétences commun (S1, S2, S3)
La réglementation distingue deux volets : la théorie et la pratique. Pour les scénarii les plus simples (S1, S2, S3), il est nécessaire d’avoir en poche un certificat d’aptitude théorique de licence de pilote. « La plupart des télépilotes de drones n’ont aucune connaissance du monde de l’aéronautique et vont donc s’orienter vers la licence la plus simple à obtenir, celle de pilote d’ULM », précise Arnaud Grut, responsable de navigabilité au pôle certification, suivi de la navigabilité et aviation générale à la DSAC.
Source : site du développement durable
http://www.developpement-durable.gouv.fr